Plongez dans l’univers énigmatique des œuvres de l’artiste peintre Pauline Girod en 2020 avec la série intitulée « Les signes de Pretin, la fin d’une errance ». Cette période artistique marque une exploration profonde de son histoire personnelle et de sa quête de racines et d’attachements.
Pauline Girod a vécu une vie nomade, déménageant fréquemment avec ses parents après avoir passé 14 ans en Allemagne. Cette errance incessante a créé un sentiment de manque d’attaches amicales et d’identité. C’est dans ce contexte que Pretin, un petit village situé au cœur des bois du Jura, prend une signification particulière. C’est là que le père de Pauline est né, et c’est un lieu qui représente pour elle des racines familiales profondes.
À travers cette série d’œuvres, Pauline Girod exprime le besoin de retrouver ses racines et ses attaches familiales. La réalisation de ces peintures a eu lieu pendant la période de la pandémie de Covid-19, une période marquée par la pression et la frustration. C’est dans cet état d’esprit qu’elle a puisé pour créer des œuvres empreintes d’émotions, où l’énigmatique se mêle à une quête personnelle profonde.
Les œuvres de Pauline Girod ont été exposées lors de la 16ème Biennale d’Art Contemporain, offrant ainsi une plateforme pour partager son exploration artistique avec le public. Les tableaux se déclinent en différents formats, avec des grands formats d’environ 80×60 cm proposés autour de 500€ et des petits formats d’environ 30×30 cm à un prix avoisinant les 130€.
En somme, la série « Les signes de Pretin, la fin d’une errance » de Pauline Girod en 2020 est une plongée dans son histoire personnelle et son besoin de retrouver ses racines et ses attaches familiales. Ces œuvres énigmatiques, réalisées sous la pression de la pandémie, ont été exposées dans la galerie « Mémoire des Arts » rue de Sèze à Lyon 6ème lors de la Biennale d’Art Contemporain. Ne manquez pas l’opportunité de découvrir ces créations qui captivent l’émotion et l’énigme, témoignant du talent artistique et de la quête intérieure de Pauline Girod.